• ART PARIS 2025

    2 - 6 April, 2025

    Grand Palais

    Stand C19

  • La galerie DUTKO est heureuse de présenter à ART PARIS, du 2 au 6 avril 2025, une exposition regroupant des œuvres majeures de différents artistes de la galerie, parmi lesquels Philippe Anthonioz, Béatrice Casadesus, Monique Frydman, Chirstian Sorg, Lucas Talbotier, Philippe gronon, Tegene Kunbi, Ted LarsenJean-Pierre Pincemin, Jean-François Lacalmontie et CHieko Katsumata.

    Pour toute demande où question, nous sommes joignables sur pendant la durée du salon au +33 6 82 87 40 72, ou par mail à galerie@dutko.com.
  • PHILIPPE ANTHONIOZ

    Philippe Anthonioz (Paris, 1953) a pratiqué la céramique pendant ses études secondaires dans l’atelier de Nadia Pasquer tout en étudiant la photographie. De 1972 à 1982, il devient menuisier et sculpte dans l’argile à partir de modèles vivants. Il commence à assister Diego Giacometti et, de 1983 à 1985, ils créent ensemble les meubles pour l'Hôtel Salé au Musée Picasso à Paris. Depuis lors, il est devenu l'un des designers les plus prestigieux, ses lampes sculpturales en plâtre étant l'un des designs les plus emblématiques du XXe siècle. Il a combiné cette carrière de designer avec sa passion pour la sculpture. En 2023, le  Château La Coste (Aix-en-Provence, France) a organisé une exposition duo incluant ses sculptures récentes et les œuvres d’Afi Nayo.
  • PHILIPPE ANTHONIOZ, Sculpture F293, 2024

    PHILIPPE ANTHONIOZ

    Sculpture F293, 2024
    Marbre de Carrare / Carrare marble.
    H 300 cm
    H 9 ft 10 in
  • MONIQUE FRYDMAN

    «Je voudrais quelque chose comme l’Orée du monde pour mes tableaux».
     
    Artiste majeure de la peinture abstraite, Monique Frydman a souvent évoqué le temps de la peinture et du tableau dans son oeuvre. Quand commence une oeuvre ? A l’Orée, comme quelque chose qui est en train de naitre, de se dilater, à mi chemin entre le désir et la maitrise. Il est toujours question du temps de peindre, et du temps de la peinture dans l’oeuvre de Monique Frydman. Si cette question se posait à l’artiste en 1988, elle est toujours d’actualité dans sa pratique.
  • MONIQUE FRYDMAN, L' Autre Rive 3 (Diptyque), 2022 - 2023

    MONIQUE FRYDMAN

    L' Autre Rive 3 (Diptyque), 2022 - 2023
    Pigments, liant et pastels sur toile de coton
    129 x 249 cm
    50 3/4 x 98 in
  • MONIQUE FRYDMAN, Torse 3, 1977

    MONIQUE FRYDMAN

    Torse 3, 1977
    Huile sur papier Fabriano
    153 x 123 cm / 60 1/4 x 48 3/8 in.
  • TED LARSEN

    Ted Larsen (né en 1964, États-Unis) est un artiste exposé internationalement, récipiendaire de la Fondation Pollock-Krasner, diplômé de la Northern Arizona University. Le travail qu'il crée fournit des commentaires sur les systèmes de croyances minimalistes et à propos de l'importance ultime de la pratique des Beaux-Arts. Depuis 2001, Larsen utilise des matériaux alternatifs et de récupération dans ses créations.

     

    Le travail de Ted Larsen a été largement exposé dans des fondations privées et des musées aux États-Unis, notamment le New Mexico Museum of Art de Santa Fe, The Albuquerque Museum, The Amarillo Museum of Art, The Spiva Center for the Arts à Joplin, Missouri, et le Philadelphia Museum of Art, ainsi que dans plus de 100 expositions en galerie.

  • TED LARSEN
    Accurate Estimate, 2019
    Acier de récupération, contreplaqué de qualité marine, silicone, caoutchouc vulcanisé, quincaillerie / Salvage Steel, Marine-grade Plywood, Silicone, Vulcanized Rubber, Hardware
    23 x 15.5 x 13 cm
    9 x 6 1/8 x 5 1/8 in
  • BÉATRICE CASADESUS

    L’art de Béatrice Casadesus est redevable des oeuvres de la Renaissance Italienne comme de l’art extrême oriental révélé par ses voyages en Asie. La musique imprègne aussi son oeuvre.
     
    En quête d’une peinture « qui n’inquiète ni ne trouble » Béatrice Casadesus revendique dès les années 2000 de peindre contre l’horreur du monde. La quiétude et l’épanouissement visuel qui émanent de ces œuvres se retrouvent chez certains grands maîtres de la peinture tels que Turner, Monet, Rothko. Ces peintres, au terme de leur carrière, ne cherchent pas à prouver ou démontrer, mais entrent dans un dialogue exclusif avec la peinture qui ne doit rien au reste du monde. Une peinture profonde et apaisante, née d’une technique particulière de l’empreinte et de la projection de couleurs sur la surface  inventée par l’artiste. 
  • BEATRICE CASADESUS, Evanescence II, 2022

    BEATRICE CASADESUS

    Evanescence II, 2022
    Acrylique sur toile/
    Acrylic on canvas
    200 x 140 cm
    78 3/4 x 55 1/8 in
  • JEAN-PIERRE PINCEMIN

    « Ma grande affaire avec la peinture est d’aimer la peinture, de ne pas savoir comment peindre, d’inventer des moyens de peindre et assez vite, de pouvoir m’identifier à la peinture occidentale. »
     
    A 23 ans, Jean-Pierre Pincemin commence à peindre, il quitte définitivement son métier de tourneur. Sa formation : la passion, le désir de faire. C’est le galeriste Jean Fournier qui l’incite à réaliser ses premières œuvres picturales. De 1968 à 1973, Jean-Pierre Pincemin se lance dans les carrés collés : la toile est tout d’abord plongée dans un bain de peinture, ensuite elle est découpée et assemblée en figures géométriques irrégulières, carrées ou rectangulaires. Dès 1971, Jean-Pierre Pincemin rejoint le mouvement Supports/Surfaces, mouvement créé dès la fin des années 60. Ce mouvement dont Matisse a été l’initiateur avec ses papiers découpés, est poursuivi par la nouvelle abstraction, le hard edgeaux USA et en France, par Simon Hantaï ou encore Claude Viallat. Le concept de ce mouvement se porte sur la réalité physique du tableau.
     
    A la fin des années 1980, Jean Pierre Pincemin décide de « tout balayer et tout assimiler » et assimile donc ainsi tous les styles, tous les supports, toutes les techniques et tous les genres. Il s’oriente alors vers la représentation, vers l’image et le sujet : Il inscrit des arbres primitifs italiens, simples et plats, des grosses fleurs à la Warhol, toute une figuration à motifs incertains  mais aux formes sûres. C’est plus tard, touché par la maladie de l’arthrite, qu’il réalise des sculptures polychromes à son image, un assemblage de morceaux de bois peints agrafés. 
  • JEAN-PIERRE PINCEMIN, Sans titre, 1974

    JEAN-PIERRE PINCEMIN

    Sans titre, 1974
    Toile découpée, teintée et réassemblée /
    Cut, dyed, and reassembled canvas
    230 x 340 cm / 90 1/2 x 134 in.
  • JEAN-PIERRE PINCEMIN, Sans Titre (La Chasse au Lion), 1998

    JEAN-PIERRE PINCEMIN

    Sans Titre (La Chasse au Lion), 1998
    Huile sur toile / Oil on canvas
    200 x 200 cm
    78 3/4 x 78 3/4 in.
  • TEGENE KUNBI

    Vit et travail à Berlin est un artiste éthiopien né en 1980 à Addis Abeba en Éthiopie. 

     

    Tegene Kunbi a obtenu un diplôme de peinture et d'éducation artistique à l'école des beaux-arts de l'université d'Addis-Abeba en 2004. En 2008, il quitte l’Ethiopie et poursuit ses études à l'Universität der Künste Berlin, où il obtient un master of Fine Arts en 2011. En 2022, il reçoit le Grand Prix Léopold Sédar Senghor de la 14e édition de la Biennale de l’art africain contemporain. Depuis, il travaille à Berlin et a participé à de multiples expositions collectives et individuelles en Allemagne et à l’étranger.

  • TEGENE KUNBI, Untitled (bleu / green), 2023

    TEGENE KUNBI

    Untitled (bleu / green), 2023
    Huile sur toile / Oil on canvas
    70 x 60 cm
    27 1/2 x 23 5/8 in
  • JEAN-FRANÇOIS LACALMONTIE

    Depuis la fin des années 70, Jean-François Lacalmontie poursuit une oeuvre échappant à la plupart des classifications traditionnelles.Dans un premier temps son travail consiste, d’une façon compulsive, à remplir quotidiennement de milliers de signes des pages d’innombrables carnets . Evoquant parfois des sortes d’idéogrammes, ni tout à fait abstraits, mais jamais totalement figuratifs, ces formes, ces « choses », ces « objets » comme il les nomme, nourrissent un répertoire de formes constituant son alphabet formel fondamental. S’apparentant à une sorte d’écriture sans contrôle rationnel, ce processus de distanciation permet une essentialisation du geste graphique, dont les émergences obsédantes questionnent les conditions d’apparition de la forme.
  • Jean-François Lacalmontie, Fragment, maison, 2023

    JEAN-FRANÇOIS LACALMONTIE

    Fragment, maison, 2023
    Huile sur toile / Oil on canvas
    116 x 89 cm
    45 5/8 x 35 in
  • Jean-François Lacalmontie, Signes des Choses 1, 2023

    Jean-François Lacalmontie

    Signes des Choses 1, 2023
    Encre de Chine sur papier Arches / Chinese ink on Arches paper
    56 x 76 cm
    22 x 29 7/8 in
  • CHRISTIAN SORG

    Christian Sorg, né à Paris en 1941, est un peintre français qui vit et travaille en France. Sa formation débute aux Arts Appliqués, par le choix de l’atelier de sculpture. Son parcours se poursuit à l’École Nationale des Beaux-Arts de Paris, où il développe son rapport à la peinture. Au fil des années, Christian Sorg crée un véritable langage pictural qui lui est propre, dans lequel il invente sa méthode d’appropriation du réel.

     

    A partir de l’expérience vécue, physiquement éprouvée, Christian Sorg dessine, peint, trace et transpose sur la toile la forte présence des oeuvres de l’humanité des premiers jours, la fragilité du monde et de l’environnement, l’éphémère éclat de la vie. Christian Sorg est une voix d’aujourd’hui qui renoue avec les échos les plus lointains.

  • CHRISTIAN SORG, L'olivier, 2003

    CHRISTIAN SORG

    L'olivier, 2003
    Huile sur toile / Oil on canvas
    200 x 200 cm / 78 3/4 x 78 3/4 in.
  • Philippe Gronon

    Depuis le tout début des années 1990, Philippe Gronon développe un travail photographique dont le point de départ est la définition la plus simple – et historique – de la photographie elle-même ; c’est en restant au plus près de ce constat-là et de son exigence de réalisme que l’artiste a composé au fil des années plusieurs séries d’images dont bon nombre sont aujourd’hui encore régulièrement complétées.
     
    Chez Gronon, cette définition première de la technique photographique se traduit par un protocole de production bien réglé : la quasi-totalité des objets photographiés (coffres-forts, tableaux de cotation, écritoires, pierres lithographiques, amplis, tableaux électriques, versos de peintures…) le sont à l’échelle 1 si bien que le spectateur a devant lui le motif choisi dans sa vérité la plus frontale et criante. Utilisant la photographie à la chambre qui permet d’obtenir des images d’une grande qualité et d’un grand format, l’objet photographié est bien souvent découpé c’est-à-dire détouré se donnant à voir tel quel, de face et sans encadrement. L’image est alors l’exact portrait du sujet mais aplati, sans profondeur.
  • PHILIPPE GRONON, Verso n°64, Baigneuse par Pablo Picasso, 2016

    PHILIPPE GRONON

    Verso n°64, Baigneuse par Pablo Picasso, 2016
    Épreuve numérique pigmentaire /
    Digital pigment print
    31 x 23,5 cm
    12 1/4 x 9 1/4 in
    Édition de 7
  • LUCAS TALBOTIER

    Lucas Talbotier est né en 1994 à Paris, France. Après une enfance passée à l'étranger en Chine et Afrique du Sud, il obtient un diplôme des Beaux-Arts de Paris en 2018 et a étudié à Rhode Island School of Design (USA) en 2017. Il vit et travaille aujourd'hui à Paris.

     

    Le travail pictural de Lucas Talbotier se développe autour d'une attention sensible au caractère physique de la lumière, aux arrangements de couleurs et à l’équilibre de formes à la fois simples et expressives. Derrière une apparente abstraction, sa peinture garde en mémoire le souvenir de paysages. Ces œuvres sont des souvenirs, des fragments de ce que reste de sensations immatérielles. Il ne s’agit pas de ce que l’on voit, mais plutôt de la trace laissée par les choses vécues.

  • LUCAS TALBOTIER, Les bouleaux, 2024

    LUCAS TALBOTIER

    Les bouleaux, 2024
    Huile sur toile / Oil on canvas
    200 x 170 cm
    78 3/4 x 66 7/8 in
  • LUCAS TALBOTIER
    Paysage malgache, 2023
    Caséine et huile sur toile / Casein and oil on canvas
    40 x 45 cm / 15 3/4 x 17 3/4 in
  • CHIEKO KATASUMATA

    Diplômée d'architecture et très marquée par le design industriel, Chieko Katsumata a découvert la céramique en France en 1973 auprès de l'artiste Fance Franck, spécialiste des couvertes chinoises sang-de-boeuf. Elle suit les cours de l'Ecole nationale supérieure des Arts Appliqués, puis retourne à Kyôto où elle complète sa formation à l'Université des Beaux-Arts d'Ôsaka auprès du céramiste d'avant-garde Mutsuo Yanagihara. Elle met au point une technique d'engobes colorés superposés qui lui permet d'obtenir une texture particulière. Ses oeuvres sont imprégnées d'un goût profond pour les formes naturelles, comme la "Citrouille française" du musée Cernuschi qu'elle interprète, créant des volumes ouverts et imposants. Ses oeuvres sont présentées dans de nombreux musées internationaux et nationaux, comme le Musée national d'Art moderne de Tôkyô ou le Musée de la Céramique moderne de Gifu.
  • KATSUMATA CHIEKO, Akoda pumpkin, 2023

    KATSUMATA CHIEKO

    Akoda pumpkin, 2023
    Céramique en grès avec émaux colorés/Stoneware ceramic with colored slip glazes
    Pièce unique / Unique piece
    35 x 35 x 36 cm
    13 3/4 x 13 3/4 x 14 1/8 in